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Ayiti Liv : Une Initiative Numérique Pour la préservation du patrimoine littéraire Haïtien
Ayiti Liv : Une Initiative Numérique Pour la préservation du patrimoine littéraire Haïtien
Ayiti Liv : Une Initiative Numérique Pour la préservation du patrimoine littéraire Haïtien

Ayiti Liv : Une Initiative Numérique Pour la préservation du patrimoine littéraire Haïtien

"Ayiti Liv" est une plateforme en ligne, dédiée strictement à la promotion de la littérature haïtienne. Il sera fonctionnel à partir du 1 Mai 2025. Et sera doté d’environ 300 œuvres majeures de la littérature haïtienne, écrites par plus de 70 auteurs. Et un accès totalement gratuit sera accordé au public pour sa phase de lancement. Salon Jean venel Casseus, l’un des initiateurs de la plateforme, cette initiative verra le jour pour combler un vide important, et ce vaste projet est porté par lui et une équipe passionnée de la littérature haïtienne.

Une nécessité

En Haïti, le manque de bibliothèques reste un défi majeur au sein du système éducatif. Et la culture des jeunes se retrouve très souvent, mis à mal par ce manque criant. La crise sécuritaire qui frappe actuellement Port-au-Prince, la capitale d’Haïti, joue un grand rôle dans la dégradation du système éducatif Haïtien, ce qui accentue encore plus ce manque. C’est Face à cette lacune, qu’ un groupe de personnes bien avisées, a décidé d’agir pour offrir une alternative sérieuse aux gens désireux d’apprendre un peu plus sur la littérature haïtienne. En ce sens, cette bibliothèque numérique dédiée exclusivement aux écrivains du pays est la bienvenue.

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Pourquoi ce projet a-t-il vu le jour ?

L’idée de Ayiti Liv s’est imposée à partir de ce constat accablant de l’absence de bibliothèques accessibles en Haïti. Jean Venel Casseus, explique : « L’État haïtien n’a pas réellement pris en main la question de la formation intellectuelle des jeunes. Dans les pays où l’on croit au rôle fondamental du livre dans le développement de l’individu, chaque quartier dispose d’une bibliothèque. En Haïti, certains départements ne comptent même pas un espace où l’on peut s’asseoir pour lire et réfléchir. Pourtant, les clubs de divertissement y sont nombreux. »

Face à cette situation, l’équipe d’Ayiti Liv a choisi d’exploiter les outils numériques pour proposer une solution tangible et accessible à tous. La plateforme www.ayitiliv.com est ainsi née, avec pour objectif de fournir un accès illimité aux œuvres des écrivains haïtiens, tout en rendant la culture haïtienne plus accessible et visible à travers le monde.

Les forces vives derrière le projet

Ayiti Liv est porté par une équipe de quatre personnes : Jean Venel Casseus, Kerbson Louis (ingénieur), France Medeley Guillou, et Sophia Mésius. Ils ont uni leurs efforts pour donner naissance à ce projet ambitieux. Leur objectif est simple : offrir à chaque jeune possédant un smartphone l’opportunité d’accéder à la richesse des œuvres littéraires haïtiennes, et ce, partout où il se trouve. L’équipe travaille sans relâche, « de jour comme de nuit », comme le souligne Jean Venel Casseus, pour assurer la pérennité et l’accessibilité de la plateforme.

Pitié ou l’œuvre d’une vieille âme écrasée sous le poids d’une existence au goût d’absinthe
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Le vocable crise charrie une infinité de sens. Nulle intention de les révéler tous cet après-midi. Toutefois, quelques précisions s’imposent. Une gamine dont les parents ne disposent pas de fonds suffisants à Noël pour lui acheter une poupée de la petite Sirène noire pique une crise et s’enferme dans sa chambre à double tour sans toucher à ses repas de la journée. Un garçon dont le chien a été empoisonné subitement par un voisin pour se venger ou abattu ayant contracté la rage, perdant du jour au lendemain un ami fidèle, entre en crise. Pour finir une société en proie à toutes sortes de mutations et dont les dirigeants sont veules, peut-être prolongée dans une profonde crise. Dans le premier cas, la jeune fille boude pour attirer l’attention de ses parents afin de se sentir apprécier des enfants de son âge à l’école ou dans le voisinage. Aujourd’hui, une trentaine de minutes de négociations peuvent suffire pour y dégager une solution durable. De mon temps, quelques coups de ceinture bien sentis aurait eu raison de ce caprice. Mais, l’humanité évolue, dit-on. Dans le deuxième cas, ce garçon peut retrouver le sourire au bout de quelques semaines. Il lui faut un peu d’attention et, sans doute un autre chien. Comme dirait Stendhal, seule la passion triomphe de la passion. Dans le dernier cas, cette société dirigée par des ineptes est secouée dans ses assises profondes. Ses institutions peuvent une à une se déliter. Les forces vives se dissoudre en un rien de temps. Cette situation crée un tsunami sociétal qui détruit toute vie au sein de cette collectivité. C’est effectivement une crise. La crise de ce point de vue constitue une situation alarmante, désespérée dans l’existence d’une communauté où rien ne va. Le chaos y règne en maître. L’essence même de la vie disparaît. L’individu peut prendre le pas sur la collectivité. Chacun tentant de résoudre ses problèmes sans se soucier d’autrui. Le voisin le plus proche est relégué à des années lumières de soi. Comment se tourner vers la création? Comment continuer à concevoir l’altérité? Comment l’artiste peut s’imprégner de ce grand désarroi collectif comme source de motivations? Voilà les questions auxquelles je dois répondre. Un artiste voit et sent ce que le commun des mortels ne peut même pas imaginer dans une vie de mille ans. Il crée pour dénoncer, quand sa conscience d’être humain est révoltée. Il exalte les héros ou la patrie selon son ressenti. Il chante la beauté d’une femme irrésistible, envoûtante ou mochement resplendissante. Il peut aussi se servir de la désolation ambiante pour donner un sens à la vie. Créer en littérature comme dans les arts en général ne dépend pas de la conjoncture. L’acte de création est fonction des dispositions du créateur. Les événements tétanisent certains et galvanisent d’autres. Créer est jouissif. Chacun jouit donc selon sa fantaisie. Écrire ouvre la voie au changement. L’écrivain jette un regard différent sur le monde. En s’incrustant dans le réel il l’enjolive, le rend meilleur ou hideux selon le message qu’il entend partager. Tout compte fait, avec lui la vie n’est jamais figée. Écrire c’est mettre le monde dans un bocal pour y parcourir l’univers. L’artiste couve son œuvre par tous les temps. Oswald Durand métait en joie d’apercevoir le beau corps de Choucoune de son observatoire secret. Musset par contre dans la douleur rédigeait sa nuit d’octobre. Quant à Dany Laferrière, en exil, il décrivit les horreurs de la dictature duvaliériste et l’insouciance des jeunes filles de son quartier dans ce monde violent et dangereux. En définitive, l’écrivain vit dans une société avec des valeurs qu’il partage ou non. Elles conditionnent son existence ou n’ont aucune prise sur lui. À bien des égards, le monde ambiant lui sert de laboratoire. Il y réalise ses expérimentations. Il jette sur le monde un regard neuf, usé, désabusé, mélancolique, violent, plein d’aigreur selon son humeur. Pitié est l’œuvre d’une vieille âme écrasée sous le poids d’une existence au goût d’absinthe. Le jeune Mike Bernard Michel vit d’expédients et de mensonges. Les mains de la vie s’abattent sur lui avec une violence indescriptible. Le malheur l’étreint dans ses bras jour et nuit. Faut-il pour autant baisser les bras ? Musset aimait à dire : « l’homme est un apprenti, la douleur est son maitre. Et nul ne se connait tant qu’il n’a pas souffert. » L’artiste doit produire sous tous les cieux. Telle est sa vocation. Les incompétents au pouvoir, les bandits légaux ou de grands-chemins, la cherté de la vie, le chômage, les chagrins d’amour sont autant de sujets de préoccupations pour lui. S’il est vrai que ventre affamé n’a point d’oreilles, toujours est-il qu’il garde le cerveau en éveil. Que dis-je, il le stimule au point de créer des œuvres intemporelles. Monsieur Pitié vous avez un bel avenir devant vous. Oeuvre de Jean Rony Charles, le livre est disponible chez les Éditions Repérage.

Le rôle crucial de la littérature dans le contexte haïtien

La littérature, selon les initiateurs de Ayiti Liv, joue un rôle fondamental dans le développement de l’individu et de la société. Elle a deux facettes essentielles : créative et critique. La littérature permet de rêver à travers des romans et de la poésie, mais aussi de réfléchir sur sa propre réalité via des essais et des travaux académiques. Dans un pays comme Haïti, où les défis sociaux et économiques sont nombreux, Ayiti Liv souhaite offrir un espace de réflexion, un outil pour former des citoyens capables de penser de manière critique et constructive. « Plus nous aurons de citoyens capables de penser avec rigueur, dans les sciences comme dans l’art, plus nous formerons des individus dotés d’une âme et de convictions profondes », ajoute Jean Venel Casseus.

Les ambitions pour l’avenir

L’équipe d’Ayiti Liv nourrit de grandes attentes pour l’avenir de cette bibliothèque numérique. Leur plus grand souhait est que ce projet dépasse leurs propres efforts et devienne un véritable patrimoine culturel, accessible à toutes les générations à venir. Ils espèrent que la plateforme ne soit pas seulement un outil de lecture, mais qu’elle devienne un véritable moteur de transformation intellectuelle et sociale en Haïti.

Ayiti Liv, bien plus qu’une simple bibliothèque numérique, représente un espoir pour l’avenir de la littérature haïtienne. À travers cette initiative, l’équipe souhaite réinventer l’accès à la littérature et la réflexion critique, en offrant à la jeunesse haïtienne une porte d’entrée viable, vers une meilleure compréhension de son identité et de son avenir.

Dans un pays où l’accès aux livre devient de plus en plus limité, où même la bibliothèque Nationale d’Haïti n’est plus à proprement dit au mains des autorités haïtiennes et où de plus en plus de jeunes ont accès à un smartphone , l’importance de cette bibliothèque numérique n’est plus à demontrer.

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À propos de l'auteur
Moise Francois
Moise Francois
Moise Francois

Journaliste rédacteur, poète et apprenti juriste.

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Haïti : La saison de Rara à Petit-Goâve : Une célébration de la vie, de l’unité et de la résilience

Alors que la nouvelle saison de Rara se profile à l’horizon, certains groupes tels que Saint Jacques Majeur, Ratyèfè, Florida Band, Lambi Grand, et Grap Kenèp se préparent déjà à illuminer les rues de Petit-Goâve de leurs costumes flamboyants et de leurs mélodies envoûtantes. Pour ces groupes, l’avenir semble radieux, promettant une saison pleine de passion et de succès. Cependant, d’autres bands de rara hésitent encore sur la direction à prendre. Malgré ces incertitudes, l’optimisme règne quant à la réussite de cette nouvelle saison pour l’ensemble des groupes de rara dans la commune de Petit-Goâve. Le rara, ancré dans la tradition vodou, est bien plus qu’une simple manifestation artistique. Il incarne l’essence même de la culture haïtienne, mettant en lumière des questions de mémoire, de tradition et d’identité. Cette forme d’expression artistique, de plus en plus populaire, attire un large public et suscite un engouement sans précédent. Des groupes comme Ratyèfè, Grap Kenèp, Florida Band et Chenn Tamaren, reconnus pour leur capacité à ravir leurs fans, jouent un rôle crucial dans l’essor continu du rara dans la commune. La saison de rara débute traditionnellement le jeudi des morts et s’achève dans la nuit du dimanche de Pâques ou le lundi quasimodo. Pour marquer le début de cette période sacrée, les groupes organisent des cérémonies d’ouverture, honorant ainsi les esprits des défunts dans des rituels empreints de spiritualité. Ces cérémonies, souvent tenues dans les cimetières ou dans les "Bitasyons" des groupes, symbolisent le lien profond entre le rara et les traditions vodoues.

Pitié ou l’œuvre d’une vieille âme écrasée sous le poids d’une existence au goût d’absinthe

Le vocable crise charrie une infinité de sens. Nulle intention de les révéler tous cet après-midi. Toutefois, quelques précisions s’imposent. Une gamine dont les parents ne disposent pas de fonds suffisants à Noël pour lui acheter une poupée de la petite Sirène noire pique une crise et s’enferme dans sa chambre à double tour sans toucher à ses repas de la journée. Un garçon dont le chien a été empoisonné subitement par un voisin pour se venger ou abattu ayant contracté la rage, perdant du jour au lendemain un ami fidèle, entre en crise. Pour finir une société en proie à toutes sortes de mutations et dont les dirigeants sont veules, peut-être prolongée dans une profonde crise. Dans le premier cas, la jeune fille boude pour attirer l’attention de ses parents afin de se sentir apprécier des enfants de son âge à l’école ou dans le voisinage. Aujourd’hui, une trentaine de minutes de négociations peuvent suffire pour y dégager une solution durable. De mon temps, quelques coups de ceinture bien sentis aurait eu raison de ce caprice. Mais, l’humanité évolue, dit-on. Dans le deuxième cas, ce garçon peut retrouver le sourire au bout de quelques semaines. Il lui faut un peu d’attention et, sans doute un autre chien. Comme dirait Stendhal, seule la passion triomphe de la passion. Dans le dernier cas, cette société dirigée par des ineptes est secouée dans ses assises profondes. Ses institutions peuvent une à une se déliter. Les forces vives se dissoudre en un rien de temps. Cette situation crée un tsunami sociétal qui détruit toute vie au sein de cette collectivité. C’est effectivement une crise. La crise de ce point de vue constitue une situation alarmante, désespérée dans l’existence d’une communauté où rien ne va. Le chaos y règne en maître. L’essence même de la vie disparaît. L’individu peut prendre le pas sur la collectivité. Chacun tentant de résoudre ses problèmes sans se soucier d’autrui. Le voisin le plus proche est relégué à des années lumières de soi. Comment se tourner vers la création? Comment continuer à concevoir l’altérité? Comment l’artiste peut s’imprégner de ce grand désarroi collectif comme source de motivations? Voilà les questions auxquelles je dois répondre. Un artiste voit et sent ce que le commun des mortels ne peut même pas imaginer dans une vie de mille ans. Il crée pour dénoncer, quand sa conscience d’être humain est révoltée. Il exalte les héros ou la patrie selon son ressenti. Il chante la beauté d’une femme irrésistible, envoûtante ou mochement resplendissante. Il peut aussi se servir de la désolation ambiante pour donner un sens à la vie. Créer en littérature comme dans les arts en général ne dépend pas de la conjoncture. L’acte de création est fonction des dispositions du créateur. Les événements tétanisent certains et galvanisent d’autres. Créer est jouissif. Chacun jouit donc selon sa fantaisie. Écrire ouvre la voie au changement. L’écrivain jette un regard différent sur le monde. En s’incrustant dans le réel il l’enjolive, le rend meilleur ou hideux selon le message qu’il entend partager. Tout compte fait, avec lui la vie n’est jamais figée. Écrire c’est mettre le monde dans un bocal pour y parcourir l’univers. L’artiste couve son œuvre par tous les temps. Oswald Durand métait en joie d’apercevoir le beau corps de Choucoune de son observatoire secret. Musset par contre dans la douleur rédigeait sa nuit d’octobre. Quant à Dany Laferrière, en exil, il décrivit les horreurs de la dictature duvaliériste et l’insouciance des jeunes filles de son quartier dans ce monde violent et dangereux. En définitive, l’écrivain vit dans une société avec des valeurs qu’il partage ou non. Elles conditionnent son existence ou n’ont aucune prise sur lui. À bien des égards, le monde ambiant lui sert de laboratoire. Il y réalise ses expérimentations. Il jette sur le monde un regard neuf, usé, désabusé, mélancolique, violent, plein d’aigreur selon son humeur. Pitié est l’œuvre d’une vieille âme écrasée sous le poids d’une existence au goût d’absinthe. Le jeune Mike Bernard Michel vit d’expédients et de mensonges. Les mains de la vie s’abattent sur lui avec une violence indescriptible. Le malheur l’étreint dans ses bras jour et nuit. Faut-il pour autant baisser les bras ? Musset aimait à dire : « l’homme est un apprenti, la douleur est son maitre. Et nul ne se connait tant qu’il n’a pas souffert. » L’artiste doit produire sous tous les cieux. Telle est sa vocation. Les incompétents au pouvoir, les bandits légaux ou de grands-chemins, la cherté de la vie, le chômage, les chagrins d’amour sont autant de sujets de préoccupations pour lui. S’il est vrai que ventre affamé n’a point d’oreilles, toujours est-il qu’il garde le cerveau en éveil. Que dis-je, il le stimule au point de créer des œuvres intemporelles. Monsieur Pitié vous avez un bel avenir devant vous. Oeuvre de Jean Rony Charles, le livre est disponible chez les Éditions Repérage.

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